Formation sur le Minage des cryptos
Guide de démarrage pour Se lancer dans le minage.
Préambule
Au 21e siècle, et comme dans l’histoire de tous les temps, la vie est dure. Les choses courantes sont de plus en plus chères sur le marché. Le coût de la vie augmente mais la plupart des salaires ne suivent pas. Du coup plusieurs personnes se posent la question comment faire pour pouvoir joindre les 2 bouts ? Comment faire pour vivre plus décemment malgré le poids de la société et des contraintes actuelles. Quel business peut-on mettre sur pied afin d’avoir plus d’argent qui tombe à la fin du mois ? Quel business peut-on lancer sans que cela ne perturbe notre travail permanent ? Quel business peut-on lancer et qu’il soit simple à gérer sans nous demander trop de ressources et de disponibilité. Le minage des cryptomonnaies en fait partie sans nul doute. Ce document vient encourager les débutants tout en leur donnant tous les conseils pour commencer cette activité en toute quiétude. Il est basé sur ma propre expérience, mes propres difficultés et par la suite mon propre succès dans le minage qui m’a conduit ‘’à un petit succès financier’’.
Vous trouverez dans ce livre des conseils, astuces et tout le matériel nécessaire pour se lancer dans le minage des cryptos et réussir à y faire profit. Ce livre c’est un guide qui va vous expliquer pas à pas le matériel à avoir, comment le commander sur internet et le recevoir peu importe que vous soyez en Afrique, en Europe ou ailleurs. Ce livre va vous guider dans l’assemblage et la mise en marche de votre petite ferme de minage ou alors de votre petit dispositif générateur de revenu. Vous êtes prêts ? Allons-y !
Introduction
En novembre 2012, j’ouvre un cyber café après mes études supérieures dans l’industrie du bois. Le financement venait des économies que j’avais réalisé en travaillant comme concepteur-dessinateur dans une entreprise de BTP. Pendant mes études supérieures dans l’industrie du bois et ses multitudes transformations, j’ai beaucoup aimé le Dessin assisté par Ordinateur (DAO) et la Conception assistée par ordinateur (CAO). Du coup après mon diplôme universitaire, je me forme en profondeur sur l’informatique et le Dao. C’est donc par la suite que je trouve ce boulot de concepteur dessinateur dans une entreprise de BTP à Douala. Je travaillais 6 jours sur 7 et j’étais le chef d’une petite équipe de production. Je gagnais à ce moment-là 200$ net par mois. Mais n’étant pas encore en couple il était facile pour moi d’économiser 150$. De plus je vivais sans payer de loyer chez une tante qui avait une chambre de trop à l’arrière de sa maison. Elle me l’avait donné pour profiter le temps de me lancer dans la vie professionnelle. Du coup j’économisais au maximum car je savais que je ne vivrais pas là toute ma vie. En un peu plus d’un an, j’avais économisé la somme plus ou moins de 2000$ suffisant pour ouvrir un petit cyber-café de 6 ordinateurs et quelques accessoires à vendre. J’engage une secrétaire qui y travaille pendant que moi je continue mon boulot en entreprise. Tout se passe plutôt bien car en plus de mon salaire de 200$ en entreprise, j’avais maintenant à peu près 60$ de bénéfice que je gagnais du cyber après avoir payé toutes les charges. Malheureusement, un an plus tard, précisément en décembre 2013 notre société fait face à des problèmes financiers et nous sommes congédiés pour une période indéterminée. C’était dur pour tous les employés qui se retrouvaient du jour au lendemain sans emploi ni où aller passer ses journées pour fuir l’ennui de rester des longues journées à la maison sans rien faire. Pour mon cas, Je retourne simplement congédier ma secrétaire et prendre sa place moi-même dans mon cyber café. Je lui avais promis que si mon travail relaçait je la rappellerai aussitôt. Au début tout allait bien au cyber. En plus des travaux de bureautique je faisais les dessins Techniques pour des techniciens qui étaient dans le besoin. Je ne facturais pas trop cher comme les bureaux d’étude indépendant et je faisais très bien le travail comment dans mon ancienne poste. Ayant travaillé au moins 2 ans sans soucis majeure, la vulgarisation des téléphones multimédias (Android, iPhone et Windows phone) vient au courant de l’année 2015 commencer à réduire peu à peu les recettes de mon cyber. Ma clientèle baisse jour après jour. Dès qu’une personne achète son smartphone, elle peut l’utiliser pour surfer sur internet et ouvrir son compte Skype, Facebook, Messenger et autres. Ces clients qui venaient se bousculer dans ma salle pour être connectés avec des amis au bout du monde se font de plus en plus rare. Je pris sur moi de persévérer encore pour voir car disait-on « on ne peut pas tout faire sur un téléphone, l’ordinateur aura toujours sa place. » C’était vrai et c’est vrai, mais pour quelqu’un qui a connu les beaux jours du cyber, il reste difficile à cette personne de se contenter du peu que lui offre ce marché aujourd’hui. Il était donc impératif de trouver de nouvelles solutions pour combler cette baisse de recette. Car entre temps je m’étais marié et j’étais le papa d’un garçon. Je ne vivais plus chez ma tante mais je louais un studio dans un quartier non loin de mon cybercafé.
- La nouvelle quête
Avec tous ces pertes de clients et la chute des chiffres en comptabilité, sans compter que les charges fixes étaient les mêmes, il devint urgent de trouver de nouvelles sources de revenus en dehors des clients internet et des tâches de bureautique. Sans oublier qu’à la maison je devais maintenant payer un loyer et subvenir au besoin de ma petite famille.
Après avoir fait des recherches çà et là pour augmenter le chiffre d’affaire d’un cybercafé, J’ajouta premièrement des équipements wifi qui permettent aux clients et voisins de connecter leurs équipements pour des prix abordables. Je fis une campagne publicitaire et informa tous ceux qui pouvaient s’y intéresser. Résultat : cela fait semblant de rebooster les choses mais pas assez pour que je me tranquillisasse. Je décidai donc d’utiliser ma propre machine et ma propre connexion internet pour fouiller sur le net des nouvelles astuces informatiques rentables.
Je fis la découverte de plusieurs opportunités à savoir :
- Le blog
- Le vlog
- Le trading
- Le télétravail
- Le marketing
- Et le minage de cryptomonnaie.
Les 5 premiers domaines semblaient trop compliqués pour moi à l’époque et vue d’œil. Je me disais qu’il fallait avoir une formation à la base, des collègues et amis qui s’y connaissent etc. J’étais celui vers qui on se tournait pour avoir une astuce ou une info. Et en 2015 YouTube ne regorgeait pas de plein de tutos comme aujourd’hui. TikTok n’existait pas.
Le minage paraissait alors simple car il faillait ‘’simplement’’ installer un logiciel sur une machine et laisser tourner. Voilà pourquoi dès cet instant je décidai de me lancer dans le minage. (Chose que je vous conseille aussi à votre tour aujourd’hui)
- Mise en place de début de minage de ma part
Etant devant une machine connectée de 8h00 à 20h00, j’ai eu le temps de suffisamment apprendre. Je me rappelle avoir acheté ma première carte visa Prépayée pour acheter un coaching en ligne 30 Euros. Par la suite je me disais savoir assez sur le minage donc J’avais premièrement téléchargé et installé un logiciel de minage sur mon serveur que je laissais tourner toute la journée et toute la nuit. Mais malheureusement moi-même je n’arrivais plus à travailler sur mon poste car le minage prenait toutes les ressources du pc et ralentissait mes travaux de secrétariat. J’ai par la suite installé le logiciel sur un poste client pour voir, mais comme les postes clients n’étaient que des dual-core ça ne produisaient presque rien en tournant h24.
J’effectua alors des recherches poussées et je compris que les cartes graphiques étaient plus performantes que les processeurs en matière de minage. Ne possédant aucune carte dans mes pc, je parcouru quelques sites de vente et je trouva un mec qui me vendit des cartes. A l’époque je pensais que carte graphique = carte graphique. (Ce qui n’est pas le cas). Ma première carte était une NVIDIA 750TI, rapidement je la montai dans le pc, téléchargea, installa les pilotes et lança le minage sur un pc client que j’avais dédié uniquement pour cela. Très enthousiaste, je laissai la machine tourner 24h et quand j’ouvris mon compte pour voir le résultat, je fus très déçu de ne voir que des miettes. En 24h la machine qui minait n’avait produit que 0.5$. Même pas 1$ en 24h.
C’est en ce moment-là que je compris qu’il existe plusieurs types de carte, plusieurs capacités et des détails techniques non négligeables.
Je compris aussi qu’on pouvait monter plusieurs cartes sur une machine afin de maximiser les revenus. Je su aussi qu’il existait des machines construites dès l’usine pour le minage. Tout ceci je l’ai su par la suite car mon mentor ne minait qu’avec une seule carte et avait oublier de me donner certaines informations
Voilà pourquoi je divise la suite de ce document en 2 chapitres pour mieux éclairer votre lanterne au sujet de ces types d’appareils notamment les RIG et les ASIC.
Mais avant d’arriver aux machines j’aimerais expliquer quelques termes du minage et son champ lexical comme on voyait en français en Terminale.
Le minage de cryptomonnaie est l’exécution des calculs à fréquences très élevées et la vérification des transactions au profit de la blockchain.
Ou encore,
Le minage désigne la validation d’une transaction réalisée en devise virtuelle en cryptant les données et l’enregistrement de celle-ci dans la blockchain.
C’est le minage qui permet les envois et réceptions des cryptomonnaies entre les utilisateurs, entre les plateformes et entre les wallets. Il permet la vérification et l’authentification des transactions.
La Blockchain est une technologie qui permet les transactions de manière sécurisée et transparente. Elle est décentralisée et traçable. Elle est créée en 2009 ensemble avec le bitcoin qui est la cryptomonnaie phare, par le très mystérieux SATOSHI NAKAMOTO.
Le minage fonctionne avec internet. Si la cryptomonnaie était un opérateur de téléphonie, alors considérez les appareils de minage comme les pilonnes et antennes de ce réseau qui permet ainsi la communication entre plusieurs.